Les salarié-es de l’Adapei 63 sont en grève et en lutte depuis 8 jours
Les professionnels de l’Adapei 63 aux parents et aux personnes accueillies.
Les salarié-es de l’Adapei 63 sont en grève et en lutte depuis 8 jours
Les professionnels de l’Adapei 63 aux parents et aux personnes accueillies.
Soirée du 1er janvier 2021. A la Télé, une émission sur les magiciens. Super !. On va donc voir le couple des rois de l’illusion : Macron et Véran.
Quand de vrais prestidigitateurs apparaissent à l’écran, déception. Comme quoi, il ne faut pas croire la Télé. Car en matière de prestidigitation, ces 2 là sont au top.Il suffit de quelques rappels sur la COVID 19.
Le masque est inutile
Printemps 2020 : Antienne moultes fois répétée et relayée par les medias. Normal, on n’en a pas.
Les tests sont de « faux amis »
Eté 2020 : Même rabâchage médiatique. Normal, on n’en a pas.
Le vaccin … c’est pas pour demain
«Nos» responsables largement relayés ont ironisé sur la perspective d’un vaccin rapide. Combien de fois a-t-on entendu « un vaccin, c’est 10 ans… au mieux 5 ans ».
Normal, aucun labo français n’est capable, donc de ne rien prévoir.
Les autres… des naïfs et des menteurs
Trump : menteur. Les labos américains : menteurs. Les labos allemands : menteurs. Les labos chinois : menteurs. Nous, on est sérieux. On dit : « un vaccin avant plusieurs années, c’est impossible ». Voilà la «vérité» officielle largement diffusée par la majorité de la presse. Sauf que…
Evènement « inouï » … pour la France mais pas pour tous ailleurs …
Montpellier Méditerranée Métropole a décidé de rendre gratuit l’accès aux transports publics pour les habitants de la Métropole le week-end.
Cette mesure est entré en vigueur, samedi 5 septembre 2020 sur le réseau TaM.
Un titre de transport reste nécessaire pour utiliser les transports publics, il peut s’obtenir de façon totalement dématérialisée à partir de l’application M’Ticket TaM. Pour y prétendre, il faut fournir une pièce d’identité et un justificatif de domicile. Le Pass week-end gratuit peut aussi être chargé sur une carte TaM.
La gratuité d’accès devrait être étendue aux seniors et jeunes toute la semaine puis enfin, d’ici la mi-mandat à tous les habitants de la métropole.
Parallèlement à cette mesure, la gamme tarifaire évolue avec une baisse de 10% du prix des abonnements TaM pour les résidents de Montpellier Méditerranée Métropole.
« Oui, nous allons lancer les enchères de la 5G. Oui, nous avons pris nos responsabilités sanitaires, environnementales». Ah bon ? Et les incertitudes sanitaires, environnementales, justement invoquées quelques jours plus tôt par la convention citoyenne pour le climat ? « Cette évaluation environnementale et sanitaire, nous l’avons, nous la faisons » assurait Agnès Pannier-Rusacherle, secrétaire d’état à l’industrie au mois de juin à l’Assemblée Nationale en réponse à une question du député LFI François Ruffin.
Or, même l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) ne rendra ses premières conclusions qu’au printemps 2021.
En décembre 2018, un rapport sur les nouveaux problèmes en santé et environnement du Conseil scientifique de l’UE relevait qu’alors que « la controverse se poursuit sur les nuisances des actuelles technologies sans fil 2, 3 et 4G, les effets sur l’homme et l’environnement des technologies 5G sont encore moins étudiés que les précédentes ». Puis, plus loin « le manque de preuves claires sur le développement de l’exposition à la technologie 5G ouvre la possibilité de conséquences biologiques imprévues ».
Read moreIl faut un moratoire et un débat démocratique sur la 5G
Cataclysme sanitaire, économique et social, la pandémie a révélé la crise de civilisation qui est à l’œuvre. Comment redéfinir un modèle de société pour que le monde d’après ne soit pas la copie conforme de celui d’avant ?
Débat dans le cadre de la fête de l’Humanité, le Vendredi 11 septembre 2020 à La Bellevilloise (Paris). Avec : Philippe Martinez, Secrétaire général de la CGT, Aurélie Trouvé, Porte parole d’ATTAC, Jean- François Julliard, directeur de Greenpeace France, Léa Vavasseur, porte-parole d’Alternatiba Le débat est animé par Marie-Noëlle Bertrand, journaliste à l’Humanité.
Depuis plusieurs mois, des organisations syndicales et associatives convergent, convaincues que les réponses aux urgences sociales et écologiques doivent être construites ensemble. La crise qui a éclaté en ce début d’année 2020 montre une fois de plus la nécessité de changer de système Nous pensons que le moment est venu de préciser les contours du « plus jamais ça »
Read moreQuelle reconstruction « rouge » et « verte » ? Fête de l’Humanité 2020
L’escroquerie d’ Emmanuel MACRON continue avec le plan de relance de 100 milliards dont
Le président Macron organisation des déficits des caisses de protection sociale pour mieux les privatiser, seul moyen de rembourser la dette sociale partie dans les poches des actionnaires.
Le plan de relance néglige la demande de justice sociale, est très centré sur le secteur marchand, les entreprises au détriment du « secteur public »: « il aurait fallu investir bien plus dans la santé et la recherche, créer des emplois publics, et augmenter les salaires. Et ça, c’est complètement tabou.
Alors on continue à fermer les yeux. NON.
Je vous donne rendez-vous le 17 septembre dans la rue et pas question de s’abstenir ou vous cautionnez ce vol manifeste.
Roger Bichon
Dans le dernier tract de la liste « Beaumont demain avec vous ! » sous la plume de sa tête de liste, JP Cuzin, nous pouvons lire la phrase suivante :
« sans aucun soutien ni attache à l’égard des partis, la liste Beaumont demain avec vous fédère… »
Mars 2015 :élections départementales
… Les socialistes Eric Egli et Dominique Molle s’en sont sortis sans trop de casse (22,9 %) mais il leur faudra, dimanche, un report arithmétiquement parfait pour couper la route du Conseil départemental au duo UMP Anne-Marie Picard-Jean-Paul Cuzin (34,7 %).
Un rappel : l’Union pour un mouvement populaire (UMP) est un parti politique français classé du centre droit à la droite de l’échiquier politique dont les 2 premiers dirigeants ont été Alain Juppé et Nicolas Sarkozy.
Il faut saluer l’initiative de la Métropole qui, par l’intermédiaire de la commune, a eu la volonté de fournir des masques à l’ensemble des beaumontois.e.s
Ceux fournis par le Conseil Départemental étaient certes de bien meilleure qualité mais il n’y en avait que 3000 pour Beaumont. Pourquoi ? La logique, ou le sens de l’intérêt général, aurait dû conduire le Conseil Départemental à se rapprocher de la municipalité pour organiser au mieux la distribution en expliquant comment les destinataires étaient choisis. Au lieu de cela, celles et ceux qui ont eu la « chance » d’en avoir, ont eu en prime un courrier signé par les conseiller.e.s départementaux du canton, par ailleurs (cela n’aura échappé à personne) candidat.e.s à la Mairie de leur ville le 28 juin, et qui ont ainsi tenté de s’en attribuer le mérite ! Chacun.e appréciera la manière de procéder.
Cela aura surtout eu pour conséquence de faire réagir le Maire qui, grâce au président Les Républicains Laurent Wauqiez de la Région, a obtenu très rapidement les masques de la région.
Nous voyons là ce que sont et comment fonctionnent les listes qui se proclament a-politique : leurs têtes de liste respectives utilisent leurs « relations et amitiés » politiques pour servir leur campagne et leurs intérêts personnels.
Au final, ces événements auront permis de rappeler que la droite beaumontoise peut toujours essayer de se dissimuler derrière des masques plus ou moins verts, plus ou moins sociaux, toujours démagogiques : ceux-ci sont tombés. C’est bien toujours la même droite, au pouvoir depuis des années, pour qui l’objectif est de s’y maintenir ou de cumuler les mandats, et pour qui le clientélisme tient lieu de projet politique.
François Ulrich
11/06/20
12 mai 2020
Une grande meute composée d’éditocrates au service de leurs employeurs –partie intégrante des milieux d’affaires– et de ministres représentant ces mêmes milieux, sonne la charge contre la CGT.
Son crime ? La section syndicale de l’usine Renault de Sandouville a demandé au tribunal de vérifier si les conditions sanitaires étaient réunies sur son lieu de travail. « Je regrette la décision de la CGT à Sandouville » s’est exclamé le ministre de l’économie. Nous ne savions pas que la CGT rendait les jugements en France, ni qu’elle avait pris possession du tribunal du Havre ! Et le même d’exercer un chantage à la relocalisation de la production automobile : « c’est une décision qui est mauvaise pour la nation française, au moment où on veut relocaliser des activités industrielles ». Ah bon, M. Le Maire, on se prépare ardemment au rapatriement de productions des usines Renault en France ? On se prépare aussi à ce que vous aidiez tout autant les entreprises sous-traitantes en souffrance. On vous attend donc au tournant. Mais on ne savait pas qu’un ministre contestait désormais des décisions de justice quand elles sont favorables aux travailleurs. Vous allez avoir du travail car d’autres jugements de ce type auront lieu.
État d’urgence dans le cadre du terrorisme. État d’urgence sanitaire. Nous sommes toujours en guerre, contre qui ?
Et les libertés dans tout ça ? Elles semblent passer loin derrière.
Bien évidemment des mesures doivent être prises pour protéger. Mais jusqu’où ?
Nos représentants (le parlement) ne représentent pas ou peu. ; a-t-il le temps de débattre, de consulter ?
Le gouvernement décide et décrète.
Le conseil constitutionnel n’est même pas consulté.
Les constitutionnalistes tirent la sonnette d’alarme.
Derrière tout ça, le risque est grand.
Ceux qui prennent les décisions sont pourtant à la base non pas de la pandémie, mais bien, au nom du libéralisme à tout crin de la non préparation et de l’ampleur du phénomène.
Des morts, des mensonges d’état. Y aura-t-il un procès d’exception, une cour martiale pour les juger ?
L’incompétence doit se payer au moins par une démission.
Une démocratie se mesure aussi au civisme des citoyens ; a-t-on toujours besoin d’un état policier pour responsabiliser les individus ? N’ont-ils pas montré leur sens des responsabilités, leur sens de la fraternité, de l’innovation pour pallier l’incurie du pouvoir ?
Ces mêmes citoyens ont tenté depuis longtemps d‘alerter sans succès sur le mur vers lequel nous foncions, notamment dans le domaine de la santé.
Restons sur nos valeurs, celles de ceux qui alertent, qui prônent un service public fort et bien doté pour que nos enfants (petits enfants devrais-je dire), continuent d’apprendre le sens de la liberté, de l’égalité, de la fraternité dans la mixité au sens large et qui tire l’individu vers le haut. Apprendre que toute personne a droit de travailler dignement et que c’est un droit.
Osons croire que l’introspection de la France confinée permettra une vrai prise de conscience … durable !
Christian Bernaud
Le manque d’équipements met tout le monde en colère.
Toutefois, en ce qui concerne le manque de masques, la faute en incombe à F. Hollande et son gouvernement : en 2011, la France avait en stock 1,5 milliards de masques dont 800 millions de masques chirurgicaux. C’est Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, qui a décidé en 2012 du changement de doctrine, le gouvernement décidant de ne plus s’occuper que du stock pour les soignants, et donc de ne pas renouveler les masques périmés. Pour les autres, aux entreprises, administrations, collectivités, de gérer…
Cela n’exonère en rien le gouvernement actuel de ses errements: retard dans la fermeture des écoles, dans le confinement, et ce qui est pire encore, décisions contradictoires (par ex: restez chez vous et allez travailler en sachant que nombre d’entreprises n’ont pas les moyens matériels d’assurer le respect des consignes de sécurité). On ne gagne pas « une guerre » sans stratégie claire me semble-t-il. Quoique ! Une stratégie claire peut être erronée…
L’heure n’est pas à la polémique ou au « buzynades » si vous préférez. Quand nous serons sortis de cette crise, il sera temps de créer des commissions parlementaires, et de préciser les responsabilités s’il y a lieu.
Profitons de cette période pour réfléchir et préparer l’après.
Macron a dit que « plus rien ne serait comme avant ». Chiche!
Et cela dépend de nous, car souvenons nous :
En 2008, Sarkozy avait dit la même chose… Au printemps 2009, il y avait eu trois manifestations massives où nous disions que « nous ne paierions pas leur crise ». Mais nous n’avions aucun mot d’ordre clair sur la nationalisation des banques, du crédit, le fléchage des aides de la BCE, … Rien de solide n’avait diffusé dans la population, les partis, les syndicats… Et tout est rentré dans l’ordre financier, en pire !
Il serait bien que l’on ne recommence pas. Car chacun le pressent, le sait… Cette pandémie n’est que le prémisse de ce qui nous attend avec le réchauffement climatique : inondations, tornades, sécheresses, canicules, que sais-je encore ? Il ne s’agira plus d’une pandémie menaçant 1 ou 2% de la population, mais bien de catastrophes menaçant l’espèce humaine toute entière. Osera-t-on les mesures nécessaires qui bouleverseront nos modes de vie occidentaux ? Ou reviendra-t-on au « business as usual » ?
Comment réagirons nous ? Par la guerre de tous contre tous ? Ou par l’entraide et la fraternité ?
François Ulrich
Cet atelier en ville doit répondre à une triple nécessité :
L’Atelier sera un tiers-lieu associatif qui réunira trois dimensions :
Un atelier coopératif : avec des outils, des conseils, un accompagnement personnalisé, pour créer, réemployer, remanufacturer, sur-cycler, réparer des matériaux et objets de seconde main, apprendre à faire soi-même et avec les autres, transmettre ces savoir-faire.
Une bibliothèque d’objets (de seconde main) : pour emprunter ces objets du quotidien qu’on ne veut ou qu’on ne peut pas acheter ou stocker chez soi et que l’on utilise rarement, et ainsi leur donner une seconde vie et éviter la surconsommation d’objets et d’outils.
Une matériauthèque (un stock à réutiliser) : pour acheter des matériaux de seconde main pour mener des projets de bricolage, de réparation, d’art et d’artisanat sur place ou à la maison.
Le rôle de la commune :
Plus de 300 personnes se sont rassemblées devant la préfecture du Puy-de-Dôme à Clermont-Ferrand à l’appel de l’intersyndicale (CGT63- FO-FSU- Solidaires- UNEF Auvergne) , ils protestent contre le recours du gouvernement au 49-3 en pleine crise du coronavirus. Le premier ministre choisit de recourir au 49-3 en confisquant le débat démocratique sur le projet de réforme des retraites
« Malgré le froid et le court délai, les gens se mobilisent, constate, en cette fin de lundi 2 mars, Didier Pagès, membre de cette intersyndicale. Ils ne veulent pas céder et continuent de rejeter cette réforme des retraites. Ce n’est pas un baroud d’honneur : le combat continue ».
Il n’y a pas de fatalité… L’article 49 al. 3 ne concerne que le projet de loi ordinaire sur la réforme des retraites. Le Gouvernement ne pourra pas recourir à cet article sur le projet de loi organique, qui contient notamment la règle d’or de l’équilibre budgétaire, car il ne peut être utilisé que sur un seul projet par session parlementaire. Le projet de loi organique devrait être débattu dès mercredi à l’Assemblée et faire l’objet de nombreux amendements, même s’il ne contient que 5 articles.
Prochain rendez-vous, vendredi 06 mars : une nouvelle journée de grève et de manifestation partira de la Place Delille à 14h30 pour rejoindre la Préfecture où une demande d’audience a été faite à Madame la Préfète du Puy de Dôme à 15h40.