Nous créons une nouvelle rubrique « Ensemble préparons l’Avenir de Beaumont« …derrière ce grillage …la mairie prépare l’avenir mais lequel ?
Les élus de la mairie doivent être en vacances ou atteints d’une surdité profonde…ils n’entendent plus les citoyens qui doivent comme au temps de la révolution culturelle chinoise en 1966 écrire leur souhait et leur désarroi sur les murs ...
En haut de la rue des roches
Ironie de la situation, la mairie ne respecte pas les consignes assignées aux citoyens…pourtant, un panneau signale que tout dépôt est interdit…
La gestion d’une commune ne se satisfait pas de slogans et de communication…quand un citoyen en arrive là, c’est que les élus de la mairie de Beaumont ont refusé tout dialogue…
On écrit sur les murs … Des messages pour les jours à venir On écrit sur les murs à l’encre de nos veines On dessine tout ce que l’on voudrait dire On écrit sur les murs la force de nos rêves Nos espoirs en forme de graffiti… Un beau jour sur le monde endormi Un beau jour sur le monde endormi
Le dialogue est instauré : des échanges intéressants avec les représentants des espaces verts de la commune qui ont un discours très avancé sur la gestion des arbres et d’une honnêteté intellectuelle remarquable . Mais les contingences sécuritaires , sociétales, ….,….., balisent leurs interventions.
Pour nous, la biodiversité urbaine constitue un enjeu pour la ville de demain. Le traitement de la nature dans les projets d’aménagement des villes reste encore marginal. Il est important de former et sensibiliser les acteurs de la commune :les élus, les techniciens, les citoyens etc.
Il y a nécessité et urgence de développer une volonté politique autour d’une nouvelle vision sur la biodiversité urbaine « bien commun » et organiser sa gestion.
Au sein de la majorité actuelle, le désordre des consignes de vote pour les circonscriptions où le second tour des législatives voit s’opposer le RN et la Nupes ne se limite pas à la tête du mouvement. L’inventaire fait par «CheckNews» montre un large éventail de déclarations des candidats battus qui vont de l’appel clair à faire barrage au refus de choisir, en passant par le silence ou encore le vote blanc.
Nicolas Bonnet, candidat EELV-NUPES, est en tête devant la député sortante (Majorité présidentielle) dont le bilan est très médiocre et que nous n’avons jamais vue sur le terrain, une député fantôme…LA VICTOIRE EST POSSIBLE mais il faut mobiliser les abstentionnistes (45,35%), près d’un électeur sur deux…MOBILISONS-NOUS.
Tête de liste
% voix circonscription
% voix Beaumont
Nicolas Bonnet Nouvelle union populaire écologique et sociale
A 18h devant la préfecture de Clermont-Ferrand, le point de la pluie d’Obligation de Quitter le Territoire Français (OQTF)tombée sur six établissements scolaires avec des témoignages poignants sur les déchirements engendrés et bien réels.L’indignation submerge les clivages. La lutte constante est à l’honneur de notre pays qui ne veut plus accueillir mais expulser (sauf Ukraine), de sa population consciente qui n’accepte pas.
Dix-huit heures devant la préfecture du Puy-de-Dôme, bâtiment froid, quelques cent cinquante personnes sont rassemblées à l’appel de RESF 63 pour réclamer l’annulation de la pluie d’OQTF qui tombent dans plusieurs établissements scolaires touchant parents et enfants et des titres de séjour pour chacun·e.
Olivia lycéenne Jeanne d’Arc Clermont-Ferrand
Lycée Pierre-Joël Bonté à Riom « Droit à l’éducation bafoué…Mobilisation à Riom » Ecole Pierre Brossolette à Riom Témoignages ci-dessous Ecole élémentaire Jean Butez à Clermont-Ferrand Médiacoop « Soutien à Ana et Maté, 9 ans et 5 ans. » Ecole Léon Dhermain à Cournon d’Auvergne Collège La Ribeyre à Cournon d’Auvergne Ecole Nestor Perret à Clermont-Ferrand
Une des trois questions principales de cette campagne électorale, avec le pouvoir de vivre et la crise écologique en général et climatique en particulier, est pour moi la guerre en Ukraine.
Est posé, d’une manière violente, pour la première fois depuis la fin de la « guerre froide », le problème, à résoudre au plus vite, de la paix et de la sécurité collective dans le monde et en Europe (je ne parle pas de l’Union Européenne mais du continent Europe).
Si vous partagez cette préoccupation majeure, je vous suggère de demander aux candidat.e.s-député.e.s pour qui vous vous apprêtez à voter quel sera leur choix si l’Assemblée nationale dont ils feront partie a à se prononcer en juillet (ou plus tard) sur une aide militaire non plus simplement symbolique mais réelle et consistante, en matériels offensifs et/ou en troupes, au Président Zelensky. Souhaitez-vous l’engagement sans restriction de la France dans la guerre en Ukraine sous couvert de l’OTAN et avec les USA et la Grande Bretagne, ou préférez-vous qu’elle reste pour l’essentiel à l’écart du conflit et contribue à tenir ouverte une porte pour trouver une solution dans un cadre garantissant à la fois l’indépendance de l’Ukraine et la sécurité de la Russie et des populations du Dombass ?
La réponse à cette question déterminera sans doute en partie votre vote. En ce qui me concerne, après les récentes déclarations bellicistes d’un éventuel futur Premier Ministre se déclarant prêt à « humilier Poutine » (sic !), ce vote n’est pas définitivement fixé.
Au moins 120 services d’urgence contraints de limiter leur activité en France. L’ampleur est inédite. Des hôpitaux de proximité aux CHU, tous les établissements publics sont désormais touchés.
L’hôpital craque et le gouvernement regarde ailleurs deux ans à peine après les prétendues prises de conscience liées à la crise sanitaire et un Ségur de la santé aux bien maigres résultats au regard de la situation.
À Bordeaux, Rennes ou encore Oloron-Sainte-Marie, rares sont les hôpitaux épargnés par la crise de ces services vitaux.
Partout, bricolages et bouts de ficelle soutiennent l’édifice. Pour combien de temps ?
Vous êtes candidat ou candidate aux élections législatives.
Nous sommes un ensemble de 9 organisations nationales de retraités, syndicats ou associations, qui agissons ensemble depuis 2014 et avons défini en commun un certain nombre de revendications. Nous souhaiterions avoir votre réponse sur celles-ci afin de les faire connaître à nos adhérents et sympathisants. Ceux-ci se sont mobilisés ces derniers mois, comme le 2 décembre 2021, avec une manifestation nationale à Paris de plus de 25 000 personnes ou encore le 24 mars 2022 à travers plus de 28 rassemblements régionaux avec 40 000 manifestantes et manifestants.
Nicolas BONNET, Maire-Adjoint écologiste de Clermont-Ferrand EST LE candidat de la Nouvelle Union Populaire Écologique et Sociale #Nupes pour remporter les élections #législatives2022 des 12 et 19 juin sur la 3ème circonscription du #Puydedome.
Vous pourrez le rencontrer et échanger samedi 28 mai à partir de 10 heures
Dr Christophe Prudhomme, Praticien hospitalier -SAMU 93
La particularité d’E. Macron est de vouloir se passer de l’administration d’État et de faire appel à ses amis des cabinets de consultants.
Quand je dis ses amis, il faut bien comprendre qu’une bonne partie des ministres, des membres de leurs cabinets et des responsables nommés dans les Agences Régionales de Santé ainsi qu’à l’Assurance Maladie viennent de ce monde et s’y recyclent quand ils perdent leur poste dans l’administration.
Le meilleur exemple est l’appel au cabinet McKinsey pour gérer la stratégie vaccinale. Une information qui n’a pas été suffisamment mise en avant est particulièrement éclairante sur l’incompétence de ces consultants sortis des écoles de commerce.
Il faut savoir que si la France a été en retard sur sa campagne de vaccination c’est parce que ces joyeux drilles avaient oublié dans leur très coûteux rapport l’achat des aiguilles pour pouvoir injecter les vaccins.
Au-delà de cet épiphénomène, ces cabinets sont aujourd’hui partout pour soi-disant réorganiser le système de santé et les hôpitaux. Ce sont eux qui ont préconisé le fameux « tout ambulatoire » qui s’est traduit par la suppression massive de lits dans les hôpitaux.
C’est pour eux qu’Olivier Véran, ancien ministre de la Santé et reconduit à un autre poste dans le nouveau gouvernement, a débloqué 650 millions d’euros pour la fameuse santé numérique qui nous est présentée comme la solution pour résoudre tous les problèmes, notamment le manque de médecins et de personnels soignants.
Un autre exemple particulièrement éclairant est celui de l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris dirigé par M. Hirsch qui a fait appel à plusieurs cabinets (Capgemini, Roland Berger, Boston Consulting Group) pour notamment la gestion des besoins en personnels et matériel.
Là aussi le résultat est catastrophique avec actuellement 1 500 postes d’infirmières vacants dans cet établissement, obligeant à fermer près de 20 % des lits. Un autre exemple des conseils de ces consultants est le fameux lean management ou en bon français « gestion allégée » dont la conséquence est ce qu’on appelle les hospitalisations brancards dans les services d’urgences à l’origine de la mort de patients par défaut de surveillance.
Le constat est clair, il nous faut une rupture avec cette logique politique de sous-traitance de l’administration d’État et des établissements publics à des sociétés privées dont la conclusion de leurs rapports est déjà fixée dans le bon de commande : supprimer des postes de fonctionnaires, sous-traiter au secteur marchand les missions des administrations pour ensuite récupérer les activités des services publics les plus lucratives.
Leurs conclusions sont connues d’avance. Le gouvernement nommé par E. Macron en est un repaire.
A Clermont-Fd, le 17 mai de 16h à 17h30 sous un soleil écrasant, devant les fac de droit et de lettres, à proximité de l’arrêt de tram, un hommage a été rendu à la grande journaliste palestinienne #ShireenAbuAkleh, assassinée le 11 mai par Israël, comme des dizaines d’autres journalistes palestiniens (plus de 40 depuis 2000).
Agée de 51 ans, elle couvrait depuis 25 ans la résistance du peuple palestinien, notamment dans le camp de réfugiés de Jénine. Le scandale du matraquage de la famille et de la foule qui participait à l’hôpital français St-Louis de Jérusalem aux obsèques le 13 mai, a créé une vive émotion sur place et dans le monde (voir par exemple : https://www.aurdip.org/shireen-abu-akleh-assaut-du.html et sa vidéo ).
Une quarantaine de personnes, dont une douzaine d’AFPS-BDSF 63, ont participé au rassemblement, ainsi que des dizaines de passants qui s’arrêtaient le temps de lire deux grandes affiches expliquant les faits, de signer la pétition AFPS (https://chng.it/LZ2BgsVDF4) demandant des sanctions à Macron (72 signatures), ou d’écouter les prises de parole de l’AFPS, de la LDH, du PCF, de Solidaires (qui a fourni la sono), de la LFI, de la Libre Pensée, de RESF, de l’UNEF, et d’une jeune Palestinienne présente à Clermont-Fd (https://fb.watch/d3RwndTQW9/ ).
NUPES : Un programme contre les inégalités scolaires (1)
« Nous affirmons très clairement qu’il doit y avoir zéro décrocheur et que pour avoir un service public de qualité il est indispensable de recruter des personnels en nombre et de réduire le nombre d’élèves par classe ».
C’est Marie Jeanne Gobert, responsable des services publics au PCF, qui a présenté le 19 mai la partie du programme de Nupes, l’alliance des gauches, concernant l’Ecole. Le programme fixe trois priorités : lutter contre la ségrégation scolaire, renforcer l’enseignement professionnel et revaloriser les personnels Education Nationale. Il est nettement en rupture avec celui d’E Macron.
Lutter contre la ségrégation scolaire
A la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (NUPES) on a imaginé un programme en accordéon, avec une grande partie acceptée par tous les partis et quelques points qui seront soumis au débat parlementaire. Ces points sont rares sur la partie éducation et concernent la Charte européenne des langues et les subventions extralégales à l’enseignement privé. L’accord c’est fait sur le plus important : une politique éducative de gauche qui prenne nettement en main la question centrale des inégalités dans le système éducatif. Des inégalités que l’équipe sortante a laissé se développer imaginant même, avec les EPLEI (établissements publics internationaux), la reconstitution dans l’école publique d’une filière réservée à la bourgeoisie de la maternelle à la terminale.
NUPES veut « reconstruire une école globale pour l’égalité et l’émancipation ». Pour cet objectif, l’alliance de gauche veut « assurer la gratuité réelle de l’éducation publique ». Il ne s’agit pas d’agiter l’uniforme scolaire, mais de prendre en charge la part de l’école qui pèse sur les familles et qui fait la différence entre les élèves pauvres et les autres. Cela concerne la cantine scolaire, les transports scolaires, les manuels (déjà largement gratuits mais pas totalement), les fournitures (qui étaient gratuite à l’école au 20ème siècle). Pour la majorité des enfants ces mesures seront sans importance. Mais JP Delahaye a superbement montré à quel point ces postes pèsent sur les budgets des ménages les plus modestes. Et combien ces questions sont source d’humiliation, de fatigue et de dégout de l’école pour les plus pauvres.
Pour la première fois un parti met en tête de ses priorités la lutte contre la ségrégation scolaire. La NUPES imagine une solution qui n’est pas sana rappeler le programme québécois. La NUPES veut établir une nouvelle carte scolaire qui intégrera les établissements privés. Leur financement sera proportionnel à leurs engagements en faveur de la mixité sociale de leurs établissements. Le programme ne dit pas comment cette mesure serait accompagnée. Mais l’engagement pris est très fort et devrait rencontrer dans notre pays de sérieuses oppositions. La carte de l’éducation prioritaire serait aussi revue. On sait que de nombreux lycées , par exemple, souhaitent y retourner. Par ailleurs la carte actuelle est ancienne. Notons aussi le redéploiement des Rased, gelés depuis 5 ans.