« Tant que la pauvreté, l’injustice et les inégalités flagrantes persisteront dans le monde, nul ne pourra prendre de repos »
Nelson Mandela
L’Atelier de gauche vous souhaite ses meilleurs vœux de santé, de bonheur personnel, de succès dans vos projets et de réussite dans nos luttes et actions communes.
CGT, FO, FSU, Solidaires, l’UNEF et la LDH 63 appellent à soutenir les salarié∙e∙s en grève, à organiser et amplifier les luttes sur les salaires, les traitements et sur les revendications dans toutes les entreprises et services.
Rassemblement et conférence de presse à 18h00
devant les marches de la Préfecture de Clermont-Ferrand.
A 18h devant la préfecture de Clermont-Ferrand, le point de la pluie d’Obligation de Quitter le Territoire Français (OQTF)tombée sur six établissements scolaires avec des témoignages poignants sur les déchirements engendrés et bien réels.L’indignation submerge les clivages. La lutte constante est à l’honneur de notre pays qui ne veut plus accueillir mais expulser (sauf Ukraine), de sa population consciente qui n’accepte pas.
Dix-huit heures devant la préfecture du Puy-de-Dôme, bâtiment froid, quelques cent cinquante personnes sont rassemblées à l’appel de RESF 63 pour réclamer l’annulation de la pluie d’OQTF qui tombent dans plusieurs établissements scolaires touchant parents et enfants et des titres de séjour pour chacun·e.
Olivia lycéenne Jeanne d’Arc Clermont-Ferrand
Lycée Pierre-Joël Bonté à Riom « Droit à l’éducation bafoué…Mobilisation à Riom » Ecole Pierre Brossolette à Riom Témoignages ci-dessous Ecole élémentaire Jean Butez à Clermont-Ferrand Médiacoop « Soutien à Ana et Maté, 9 ans et 5 ans. » Ecole Léon Dhermain à Cournon d’Auvergne Collège La Ribeyre à Cournon d’Auvergne Ecole Nestor Perret à Clermont-Ferrand
Le rapport publié jeudi par Oxfam vient confirmer l’insuffisance des moyens mis en œuvre durant le quinquennat pour résorber le fossé des inégalités, notamment en matière professionnelle et économique.
Rendez-vous manqué. À cinq semaines du premier tour de l’élection présidentielle, le rapport rendu public ce 3 mars par l’ONG Oxfam (1) juge sévèrement le bilan du président Emmanuel Macron, qui avait promis de faire de l’égalité femmes-hommes la « grande cause nationale » de son quinquennat. Celui qui, en 2017, disait être un « candidat féministe » est loin de s’être montré à la hauteur des enjeux. « Nous prenons acte des efforts mais les mesures entreprises n’ont pas permis de transformer un système profondément sexiste, note le document de près de 50 pages. Les moyens ont été trop faibles et de multiples erreurs et ambiguïtés ont questionné la réalité de l’engagement. »
« gagner et posséder moins que les hommes »
Les auteures du rapport reconnaissent que des engagements allant dans la bonne direction ont été pris par les pouvoirs publics en matière de « diplomatie féministe » et de « droits sexuels et reproductifs », mais l’action gouvernementale est qualifiée d’ « insuffisante » en matière de « budget dédié à l’égalité femmes-hommes » et de « lutte contre les violences ». Le compte n’y est pas du tout dans une société où « les femmes continuent de gagner et posséder moins que les hommes ». Le document pointe de nombreuses insuffisances tout en rappelant que les femmes « sont surreprésentées dans les emplois les plus précaires et les moins valorisés, exclues des sphères de pouvoir et assurent une part disproportionnée des tâches domestiques non rémunérées au sacrifice de leur vie professionnelle ».
0,25 % du budget de l’État
« Ce qu’on attendait, c’étaient de grandes mesures structurelles qui transforment le système en profondeur », explique Sandra Lhote-Fernandes. « Il aurait fallu beaucoup plus d’ambition », insiste la responsable plaidoyer chez Oxfam France, qui remarque que la « grande cause du quinquennat » n’a bénéficié que de 0,25 % du budget de l’État. « Il y a un écart trop important entre l’affichage politique et la réalité des moyens alloués », souligne-t-elle. Si des actions ont bien été entreprises, comme le renforcement des obligations de transparence en matière d’égalité professionnelle, l’introduction de quotas dans la direction des grandes entreprises ou encore l’augmentation des salaires dans le secteur – très féminisé – de la santé, l’ONG juge néanmoins ces dispositions insuffisantes. « Oui le congé paternité a été allongé (de onze à vingt-huit jours – NDLR), mais on partait d’une situation scandaleuse », rappelle la responsable d’Oxfam. « Et ça reste insuffisant pour faire pleinement face aux enjeux d’égalité des droits, de répartition des tâches domestiques et parentales et de discrimination dans le cadre du travail. » Alors que l’Unicef préconise un congé parental payé d’au moins six mois pour les deux parents, Oxfam ne se prive pas de comparer les quatre semaines françaises aux seize semaines accordées en Espagne, trente-quatre au Danemark ou encore soixante-dix-huit en Suède.
« 1 milliard d’euros » pour réellement changer les choses
D’autres mesures sont quant à elles carrément jugées contre-productives, comme l’index de l’égalité professionnelle. Des paramétrages de calcul biaisés permettraient en effet aux entreprises d’obtenir de très bons scores (note moyenne de 86/100 l’année dernière), reflétant donc assez mal la réalité. « L’index permet un certain “gender washing”et les entreprises peuvent se prévaloir d’une bonne image comme s’il n’y avait pas encore 16,5 % d’écart de salaire entre femmes et hommes à poste égal », souligne Sandra Lhote-Fernandes. La revalorisation des salaires des métiers fortement féminisés (institutrices, aide à la personne, entretien…) représente un autre point noir de ce quinquennat, tout comme le « droit à la garde d’enfants ». Alors qu’Emmanuel Macron avait promis l’ouverture de 30 000 places supplémentaires en crèche, on n’en dénombre aujourd’hui que la moitié. Les estimations les plus basses font pourtant état de besoins à hauteur de 230 000 places ! Sur 2,3 millions d’enfants de moins de 3 ans, 40 % n’ont aucune solution de garde, une situation qui représente un véritable frein à l’autonomisation économique des femmes, qui se voient obliger de renoncer à travailler pour s’occuper de leur progéniture.
« Il faut vraiment mettre les moyens sur la table et mettre en place des mesures ambitieuses si on veut transformer un système sexiste et patriarcal qui pénalise encore beaucoup trop les femmes », conclut Sandra Lhote-Fernandes. Son organisation attend un engagement fort du prochain président de la République et demande « 1 milliard d’euros et un plan d’urgence » pour réellement changer les choses. « Nous n’accepterons pas moins. » (1) Rapport réalisé en collaboration avec Equipop et Care, avec la contribution de la Fondation des femmes, du Planning familial et de One France.
A l’appel des organisations suivantes (CGT / SOLIDAIRES / FSU / UNSA / UNEF / LDH / CIMADE / AFPS / Nous aussi / Libre Pensée / Le temps des cerises / PCF / PS / EELV / GÉNÉRATIONS / Nouvelle Donne / FI / PG / JC-UEC…)
un rassemblement est prévu
samedi 5 Mars à 11h00
devant la préfecture à Clermont-Ferrand.
Des réactions se multiplient pour s’associer et prolonger l’initiative de samedi d’autant plus que la liste des victimes, notamment civiles s’allongent, et que le cortège de réfugiés se compte désormais au nombre de 800 000. L’escalade s’amplifie avec la mise en alerte, ordonnée par Poutine, de la force de dissuasion nucléaire russe et une concentration des forces armées russes qui s’amplifie de même que leurs offensives. Parallèlement l’OTAN cherche à se renforcer au sein de l’Europe et l’Allemagne, par exemple, bascule dans une orientation militariste qui est inédite depuis la seconde guerre mondiale en décidant une augmentation de son budget militaire ahurissante (100 milliards quasi immédiatement). Les livraisons d’armes en Ukraine (que certains, y compris à Gauche, appellent de leurs voeux) ne sont pas une solution car comme disait Jaurès « on ne fait pas la guerre pour se débarrasser de la guerre ». Autre élément non négligeable, la contestation en Russie qui est forte et qui démontre l’incompréhension du peuple russe face à la souffrance du peuple ukrainien dans une guerre absurde et fratricide.
Plus de 48 heures après l’invasion de l’Ukraine par la Russie, plusieurs mobilisations de soutien à la population ukrainienne sont prévues en Auvergne ce week-end. A Clermont-Ferrand et Moulins notamment à l’appel de différentes organisations.
A l’appel de plusieurs organisations syndicales, associatives et politiques, un rassemblement pour la paix est organisé ce samedi à 11h00 devant la Préfecture de Clermont-Ferrand.
Des rassemblements pour dénoncer l’invasion meurtrière de l’Ukraine. Une mobilisation qui semble prendre de l’ampleur.
Film sur une famille décimée de Gaza (où vivent plus d’un million de réfugiés, sous blocus et souvent sous les bombes), et sa partie exilée en Allemagne. Où le gouvernement allemand ignore ces citoyens binationaux.
en présence de la co-réalisatrice Anne Paq, cinéaste originaire de Thiers, qui a vécu longtemps en Palestine,
La soirée sera l’occasion d’échanger avec les membres de l’association et la réalisatrice.
– venue de la pour un débat sur son film NOT JUST YOUR PICTURE
JEUDI 25 NOVEMBRE 2021 – 20h Salle Multimédia 7 rue Léo Lagrange – Clermont Fd
Danielle TARTAKOWSKY
La manif en crise ?
Le pouvoir est dans la rue ?
Danielle Tartakowsky est spécialiste de l’histoire sociale et politique de la France du XXe siècle, et plus spécifiquement de l’histoire des mouvements sociaux.
Elle a publié aux éditions du Détour : Construire l’Université au XXe siècle — Récits d’une présidence Paris 8 — 2012-2016 (2017) et, avec Michel Margairaz, L’État détricoté – De la Résistance à la République en marche (2e édition revue et augmentée, 2020)
La France est le premier consommateur de nitrate d’ammonium en Europe et le deuxième au monde. Pourtant, six mois après la catastrophe de Beyrouth, notre enquête montre que les contrôles sont encore insuffisants. Plusieurs sites sensibles ont été identifiés, en Alsace, en Loire-Atlantique et en Gironde.
Le 4 août 2020, l’explosion d’un stock de nitrate d’ammonium dévastait le port de Beyrouth, faisant plus de 200 morts et 6 500 blessés. Six mois après, la cellule investigation de Radio France a voulu savoir si une telle catastrophe serait possible en France. Notre pays est en effet le premier consommateur de nitrate d’ammonium agricole (ammonitrate) en Europe, et le deuxième dans le monde. Or la législation a encore des failles, et les contrôles ne sont pas systématiques.
Des « bombes agricoles » en puissance
Dans une note publiée après la catastrophe de Beyrouth, le ministère de l’Agriculture indique que « le nitrate d’ammonium, même très concentré, n’est pas considéré comme un ‘explosif ‘ mais seulement comme un explosif occasionnel (…) par exemple quand l’engrais est contaminé par des matières incompatibles. »
« Il suffit d’une montée en température due à un incendie combinée à 0,2 % de matière organique, comme un simple copeau de bois, pour arriver à une situation explosive », estime cependant Paul Poulain. Il regrette que les autorités n’appliquent pas de manière drastique la règlementation en matière de sécurité incendie. « On préfère prendre des risques plutôt que d’équiper ces installations de systèmes de détection incendie, ce qui renchérirait le coût de l’agriculture en France », ajoute-t-il.
« Il y a énormément de départ de feu dans les exploitations agricoles, s’inquiète un expert en risque incendie, Ronan Nicolas, du bureau d’étude Atossa. Cela peut provenir d’une fermentation des balles de foin ou d’installations électriques vétustes. Les agriculteurs stockent aussi beaucoup de combustibles : s’ils se retrouvent associés à du nitrate d’ammonium, tous les ingrédients d’une véritable bombe agricole sont alors réunis ! »
Des précédents dramatiques existent
Le 2 octobre 2003, à Saint-Romain-en-Jarez, dans la Loire, les pompiers sont appelés pour un incendie dans le hangar d’un arboriculteur. Ils ignorent qu’entre trois et cinq tonnes d’ammonitrate sont stockées sur place.
L’explosion blesse 18 pompiers, dont trois grièvement. Invalide à 80 % suite à l’explosion, Patrick Maniora a retrouvé péniblement l’usage de ses jambes. Mais cet ancien sapeur-pompier n’a jamais réussi à obtenir de la justice une reconnaissance et un dédommagement lié à son handicap. « Il faut changer la loi, estime Patrick Maniora. Je me suis battu jusqu’en cassation, mais au final il n’y a pas de faute pénale donc pas de responsable. L’exploitant était dans les clous de la loi en matière de stockage d’ammonitrate. C’est la blessure qui me fait le plus souffrir. »
Une grande partie de ces stocks échappent effectivement au contrôle. « Les installations qui stockent moins de 250 tonnes ne sont pas soumises à déclaration auprès des autorités, s’alarme Paul Poulain, spécialiste des risques industriels. Elles ne sont ni contrôlées par des bureaux d’études privés, ni inspectés par les services de l’État. Potentiellement, un exploitant agricole ou une coopérative peut donc stocker du nitrate d’ammonium agricole sans respecter les mesures de base de sécurité. Nous ne faisons pas tout pour éviter qu’un accident du type AZF ne se produise à nouveau. »
Près de 459 000 installations classées pour la protection de l’environnement ne sont jamais inspectées par les services de l’Etat. (Nicolas Dewit / Radio France)
Alors que les législatives approchent – elles aussi – à grand pas, notre classement montre que si une majorité de députés travaillent intensément… d’autres ont une productivité toute relative… nous avons ensuite classé les députés sur la base de 6 critères jugés représentatifs du travail d’un parlementaire : le nombre de rapports rédigés, d’amendements proposés, de présences en commission, d’interventions dans l’hémicycle, de propositions de loi écrites et de questions orales posées au membres du gouvernement.
Nous leur avons attribué des points en fonction de leur classement respectif sur chacun de ces critères, avec un coefficient double pour les rapports rédigés et les amendements proposés, parce qu’ils exigent plus de travail. Et afin de ne pas fausser la comparaison, nous n’avons retenu que les 504 députés ayant effectué un mandat complet depuis l’élection législative de 2012.
Le meilleur élève de notre classement ? André Chassaigne, député communiste du Puy-de-Dôme. A lui-seul, l’élu auvergnat compile 260 présences en commission, 1.600 amendements, 11 rapports… “Un activisme probablement dû à sa fonction de président du petit groupe de la Gauche démocrate et républicaine qui nécessite de se démarquer pour se faire entendre”, note René Dosière. Saluons également l’engagement de personnalités comme l’écologiste Denis Baupin ou encore Eric Ciotti (Les Républicains)…
Il est possible de réenchanter l’avenir y compris en matière économique. Tel est le sens de cet appel. La gravité de la situation l’exige : nous tenons aujourd’hui à souligner ensemble en tant qu’économistes – par-delà nos sensibilités très diverses – que des alternatives crédibles existent pour sortir de l’impasse.
Le chômage, la précarité, la difficulté à boucler ses fins de mois, marquent la vie de millions de nos concitoyens. Aux souffrances de la vie matérielle s’ajoutent la perte d’espérance, le sentiment que l’avenir est bouché pour notre pays et nos enfants. Les élections régionales ont, après bien d’autres, sonné l’alarme. Les causes de la désespérance sociale ne sont pas qu’économiques, mais nul espoir ne renaîtra si la donne ne change pas en la matière.
L’Élysée vient de publier la nouvelle composition du gouvernement. S’il est une courbe qui ne progresse plus, c’est celle de la volonté politique en matière d’égalité femmes-hommes.
Où sont les droits des femmes ? Relégués avec la famille et l’enfance. Situation inédite depuis Nadine Morano, alors ministre de la Famille et des Solidarités. François Hollande et Manuel Valls, à travers cette nouvelle composition, affichent tout leur mépris à l’encontre des droits des femmes, subalternes à la question de la famille et des enfants. Nous rappelons encore et toujours que les droits des femmes sont une question transversale à toutes les questions politiques, et pas que à la famille. Qui plus est, il n’y a plus de secrétaire d’état dédiée à la question ni de femmes ministres avec un portefeuille régalien. Marche arrière toutes !
Le message est clair. Il n’y a plus de volonté politique sur la question des droits des femmes. Osez le féminisme ! est scandalisée par ce remaniement, qui se fait sur le dos des femmes et de leurs droits. Dont acte.
Sur une heure de dialogue avec six Français sélectionnés par ses soins face à Nicolas Sarkozy, France 2 n’a réussi, jeudi soir dans « DPDA », qu’à accorder 5 petites minutes au dernier d’entre eux, un syndicaliste de la CGT. Avant de lui couper purement et simplement le micro.
Jean-Michel Charlat (gauche/ Front de gauche) succèdera à Pierre Guillon (PS), dont il était l’un des adjoints, et qui est décédé en octobre dernier, dans le fauteuil de maire de Billom. La liste de gauche qu’il conduisait, Ensemble pour Billom, dans laquelle se trouvaient quinze élus sortants, est arrivée en tête, hier soir comme au premier tour, avec cette fois-ci 44% des suffrages (845 voix). Elle devance de 145 voix la liste sans étiquette conduite par Patrice Royer, Billomois, réveillons-nous, qui obtient 37% (700 voix). La liste emmenée par la première adjointe socialiste sortante, Emmanuelle Belette (PS), Billom pour tous, termine à nouveau en dernière position avec 19% (354 voix). Si les deux autres listes ont progressé entre les deux tours, respectivement de 149 et 76 voix, celle-ci a perdu 112 voix. La majorité (gauche/ Front de gauche) aura 20 sièges dans le nouveau conseil municipal, la liste sans étiquette en aura cinq, et la liste gauche/parti socialiste en aura deux.
Rappel :
Les résultats du premier tour : SE 1786
. Billom pour tous (PS) 466 (26.09%)
. Ensemble pour Billom (FG) 696 (38.97%)
. Billomois réveillons nous (Div sout LR-UDI) 624 (34.94%)
les élus du canton : Jacky GRAND – Jocelyne GLACE LE GARS (Front de Gauche)
Le 16 janvier, les pompiers ont besoin de vous !
Invitez vos amis, partagez, parlez-en autour de vous ! Pour que demain les pompiers puissent continuer à faire leur travail correctement ! Venez nous aider lors d’une marche de soutien au départ de la caserne de Clermont (place Turgot) à 14h00.
Aujourd’hui, nous n’avons eu aucune avancée significative sur nos revendications ! Le service public est en danger, les pompiers sont en péril !
NOUS AVONS BESOIN DE VOUS pour nous faire entendre, pour faire comprendre à nos élus que nous allons droit dans le mur avec cette organisation…
Un jour vous aurez besoin de nous, aujourd’hui nous avons besoin de vous !