Le marché, la gouvernance et l’ordre sont les pivots du socialisme d’aujourd’hui, comme il le fut en Angleterre, en Allemagne, en Espagne ou en Italie. Avec les brillants succès que l’on sait…
Si la gauche de gauche ne trouve pas la voie indissociablement mêlée du rassemblement et de la novation, si elle se divise et ronronne, elle disparaît. Comme en Italie. Mais, dans ce cas, que devient la dynamique d’une gauche qui ne vit que par l’égalité (celle des conditions, pas celle des chances), la citoyenneté élargie et la solidarité universelle ?
Roger Martelli – http://www.regards.fr/